HISTOIRE - La conception néo-malthusienne

HISTOIRE - La conception néo-malthusienne
HISTOIRE - La conception néo-malthusienne

Les conceptions néo-malthusiennes, en ce qui concerne le passé, n’ont pas la prétention d’être universelles; elles s’appliquent essentiellement à certaines «plages» de temps multiséculaires où, malgré d’énormes bouleversements, on note quelques tendances à ce qu’on appelait jadis l’«éternel retour».

Le devenir s’apparente donc dans ce cas à des formes d’histoire qui seraient à la fois fluctuantes et immobiles, oscillantes et stationnaires. Le devenir est un non-devenir. En l’occurrence, les modèles néo-malthusiens (qui dérivent de l’œuvre de M. Postan en Angleterre et W. Abel en Allemagne, ainsi que des recherches françaises relatives au Languedoc et à la Normandie) peuvent être utiles. Ils donnent forme non seulement à l’histoire économique et démographique, mais aussi aux mouvements de la structure sociale, dans le monde paysan.

Niveaux démographiques

La démographie fournit à ce propos des repères chiffrés, nécessaires aux concepts. Prenons l’exemple de la «France». Dans la première moitié du XIVe siècle, disons vers 1320-1330, la population «française», dans le cadre de pure commodité que fournit l’«hexagone» actuel, atteignait déjà à des chiffres qui signifiaient le «monde plein»; ils n’étaient pas éloignés de ceux qu’elle connaîtra de nouveau à la fin du XVIIe siècle, à l’heure des premiers grands recensements et des registres paroissiaux, soit 17 ou 18 millions d’habitants vers 1330 ; peut-être une vingtaine de millions vers 1700. En trois cent soixante-dix ans, on obtenait donc à peine plus que la croissance zéro. On rêverait de «progrès»(!) semblables, qui équivalent pratiquement à une stagnation séculaire, pour le Tiers Monde actuel qui, lui, est en état d’accroissement démographique galopant. On en rêverait..., si, hélas, les moyens qui assuraient cette stagnation de l’époque bas-médiévale et «moderne» n’étaient pas, de notre point de vue, barbares et insupportables: pestes, épidémies, guerres et famines...

L’autre découverte, effectuée par divers historiens, concerne la stabilité, en France, des techniques rurales et des rendements céréaliers, entre la première révolution agricole (celle du Moyen Âge, XIe-XIIIe siècle) et la seconde à partir de l’agronomie des Lumières. Sans nous prononcer sur le cas un peu ambigu du XVIIIe siècle, constatons en tout cas que la production des subsistances et surtout des céréales en France (mais non pas aux Pays-Bas ni en Angleterre) s’opère grosso modo selon des normes de rendement stables entre 1300 et 1720. Ainsi se révèle un extraordinaire équilibre. Il n’exclut pas certes des bouleversements et des fluctuations négatives, éventuellement monstrueuses, mais toujours momentanées. Cet équilibre général, aussi susceptible de sautes d’humeur et d’ajustements que l’est celui des économistes, peut se ramener à l’esquisse d’un tableau champêtre: dans les limites du cercle vert des forêts épargnées, qu’avaient élargi les grands défrichements des XIe-XIIIe siècles, un peuple de paysans pendant douze à treize générations, de 1300 à 1700-1720, s’active et se reproduit en fonction d’une enveloppe de possibilités numériques dont les contraintes sont inexorables. Ces contraintes, du reste, pourront s’atténuer par la suite, après 1720; elles ne s’évanouiront quand même pas de sitôt... Pour m’en tenir à la période cruciale 1300-1720, la quasi-stabilité dans le long terme des paramètres démographiques et céréaliers ramène tout droit aux vieilles notions qui parlaient de virtualités d’un état quasi stationnaire. Les économies, les sociétés, les démographies sont multiséculairement normalisées ...

Peste, guerre, famine et mariage tardif

Normalisées par la peste, bien sûr, et par les autres épidémies (dysenterie, typhus, etc.). Du XIVe au XVIe siècle, et au-delà, les contacts intercontinentaux qui deviennent de plus en plus fréquents par voie de terre (à travers l’Asie) et par voie de mer (à travers l’Atlantique) réalisent l’unification microbienne du monde: un «marché commun» des microbes. De quoi casser toute croissance démographique vraie (qui serait, par hypothèse, davantage qu’une récupération par rapport à un désastre antérieur), en ce qui concerne les populations majoritairement paysannes de l’Europe continentale-occidentale (les cas des Pays-Bas et de l’Angleterre, beaucoup plus dynamiques, se situent à part). De quoi produire, aussi, des effondrements généraux, à l’échelle ultraséculaire ou séculaire: tel celui qui détruit à moitié la population allemande vers 1630-1650. Tel surtout celui qui ramène la population française de 17 ou 18 millions d’habitants vers 1330 à 7 ou 8 millions, au plus, vers 1450, pour qu’ensuite elle remonte naturellement par un jeu inverse et pendulaire de récupération à 18 ou 19 millions vers 1550-1560, ce dernier chiffre étant destiné à se stabiliser jusque vers 1715. Bien entendu, dans ces deux cas, allemand et français, la peste et autres pandémies étaient bien loin d’être seules en cause. Il faut aussi évoquer la guerre. Guerre de Trente Ans en pays germanique, et guerre de Cent Ans, entre Vosges et Pyrénées. La guerre, c’est-à-dire, en fin de compte, le système des grands États (Angleterre et France, Maison d’Autriche). Comme quoi le devenir social des paysans est largement tributaire, en l’occurrence, de l’histoire biologique des microbes, et de l’histoire superstructurale du système étatique, à l’échelle nationale et internationale. Et puis, il faudrait ajouter au couple peste-guerre le facteur famine: la famine est fille de la météorologie, bien sûr, mais elle s’aggrave aussi du fait de l’action débilitante qu’exerce la guerre sur l’économie agricole; et elle engendre, en retour, le terrain favorable sur lequel peuvent germer les épidémies. À eux trois, les fléaux, peste, guerre et famine fabriquent les décrochements massifs de la population rurale qui sont de durée longue («guerre de Trente Ans») ou superlongue («guerre de Cent Ans»).

Cependant, la mort n’est pas le seul facteur à mettre en cause, quant à la stabilisation ou à la régression des effectifs paysans. D’autres freins démographiques sont à l’œuvre. Ils procèdent du centre contractuel de la vie sociale et du contrôle intelligent de l’humanité sur elle-même. Je veux parler du mariage tardif (entre vingt-quatre et vingt-cinq ans pour les femmes; et une ou deux années de plus pour les garçons). Cette coutume, dans un régime sans contraception ou à très faible dose de contraception, revient pour la femme à ne pas engendrer les deux ou trois bébés de plus qu’elle aurait eus infailliblement si elle s’était mariée à seize ans d’âge, au lieu de vingt-quatre ans. Elle constitue donc, à défaut de contraception véritable, «l’arme préférée du birth control de l’Europe classique» (P. Chaunu). Elle se répand graduellement en Europe occidentale du XVe au XVIIIe siècle (ainsi, en Normandie, le mariage féminin est à vingt et un ans vers 1550; à vingt-quatre ans vers 1700). Mais elle reste inconnue en Europe orientale, où les noces, tout comme dans l’Asie archaïque, interviennent pour les jeunes filles quelques années seulement après la puberté. L’élaboration sophistiquée du mariage tardif, comme moyen occidental de concourir à une stabilisation du peuplement, met en cause les représentations mentales d’un certain optimum pour la vie du couple, et toute une éducation sociologique et morale du sexe. Voilà qui fait du paysan moyen de jadis tout autre chose que cette espèce de gorille tambourinant ses poings sur sa poitrine, image qui semble se dégager des portraits peu flatteurs et en réalité diffamatoires que donneront du villageois certains écrivains comme Balzac ou Maupassant.

Interrelation des variables

Quoi qu’il en soit, l’état stationnaire, dans le très long terme, n’implique pas la stabilité absolue. Bien au contraire! La gigantesque flexure démographique que j’ai signalée à propos de la France des XIVe, XVe et XVIe siècles s’accompagne d’oscillations qui sont, elles aussi, d’une extraordinaire puissance en ce qui concerne le complexe économique et social du monde agraire.

De 1330 ou 1348 à 1450, en même temps que diminue la population française, s’effondrent les prix, la production agricole, la mise en valeur du sol, le nombre relatif des paysans pauvres, la rente foncière... Le salaire réel cependant s’élève, et la dimension moyenne de l’exploitation agricole s’accroît. Les gens vivent mieux. Ou disons que les survivants vivent mieux car pour les morts de peste, c’est si l’on peut dire une autre affaire! Les prix industriels (maintenus plus hauts par la rareté de la main-d’œuvre) baissent, mais moins que les prix agricoles qui sont déprimés davantage que les autres du fait de l’abondance de la terre, devenue disponible pour qui veut la prendre.

De 1450 à 1560, c’est tout le contraire. Mouvement de bascule! La balançoire séculaire repart dans l’autre sens. Dans tous les domaines. La hausse, ou récupération, démographique entraîne avec elle, dans la remontée cette fois, les éléments déjà mentionnés : prix, production agricole, mise en valeur du sol, nombre relatif des paysans pauvres, rente foncière. Il y a aussi très forte paupérisation séculaire des salariés, quant à leur pouvoir d’achat réel, et morcellement des parcelles. Les prix agricoles récupèrent eux aussi, et plus fortement que les prix industriels, par compensation normale de ce qui s’était passé, en sens inverse, pendant la phase précédente de baisse séculaire.

Derrière ces indices abstraits, c’est bien entendu le sort effectif et mouvant des groupes sociaux qui est mis en cause. Inutile d’insister sur le destin bien connu des salariés agricoles (et urbains). Pendant le deuxième tiers et le troisième quart du XVe siècle, ils étaient au pinacle de leur consommation de vin et de viande, au sommet du bien-être salarial. Mais la paupérisation tendancielle du XVIe siècle, provoquée par l’accroissement trop vif de leur nombre et par l’offre accrue de main-d’œuvre, les met à la portion congrue. Vers 1550-1560, ils se serreront la ceinture au maximum, se mettront à l’eau et au pain noir, en une paupérisation progressivement stabilisée, eux, leurs enfants, petits-enfants et ainsi de suite jusqu’au XVIIIe siècle pour le moins... Cette immense respiration multiséculaire d’une structure sociale, qu’on entend bruire et bouger dans les profondeurs du monde campagnard, ne concerne pas seulement les salaires. Les grands propriétaires fonciers – seigneurs et autres – avaient été peu gâtés par la rente foncière, tombée trop bas, vers 1450-1460. Mais, au cours du long siècle qui va suivre, ils reprennent progressivement «du poil de la bête». Ils profitent de la forte demande de terre, formulée par une classe fermière qui est en état d’expansion démographique et/ou économique. Ils sont du coup capables d’augmenter les fermages qu’ils exigent au titre des baux. Ils accroissent ainsi, puis consolident leurs revenus terriens et leur dominance rurale de 1500-1550 à 1700-1750.

Les paysans-exploitants, eux, étaient au large sur d’assez vastes exploitations vers 1460, date ronde et large. Mais au cours des générations qui vont suivre, et surtout après 1500, ils vont être victimes, «sur leur gauche», d’un morcellement galopant du sol, dû à la pression démographique rurale croissante. Les voilà parcellisés, morcellisés, paupérisés... Mais, d’un autre côté, ils sont rongés aussi, «sur leur droite», par une certaine offensive capitaliste des rassembleurs de terres.

Une minorité de gros laboureurs et de riches fermiers tire, elle, son épingle du jeu au XVIe siècle, grâce, précisément, à ces processus capitalistes, grâce aussi à la sélection des plus forts, instaurée impitoyablement par l’essor démographique; elle précipite les faibles dans une faiblesse et dans une pauvreté plus grandes encore. Les gros laboureurs ainsi sélectionnés affirment, eux, une position dominante dans le village. Mais si haut perchée qu’elle soit, elle est nettement plus modeste que celle qu’occupent, tout en haut de la «cascade du mépris», les grands propriétaires. Ceux-ci sont bien souvent les bailleurs de terre, pour ces gros fermiers.

Cependant, la majorité de la population rurale, vers 1460, se composait de laboureurs moyens . Ils connaissaient une modeste mais incontestable aisance, à cette époque. Un siècle plus tard, vers 1560, la majorité se compose de manouvriers de facto , sinon toujours de jure : ils ont été entassés sur place et paupérisés par la grosse montée du peuplement entre ces deux dates. Les laboureurs, même et surtout quand ils sont gros, sont désormais en minorité. Paupérisation, hélas!

Par ailleurs, la production agricole, depuis le milieu du XVe siècle jusqu’au milieu du XVIe siècle, est en hausse; mais elle semble, surtout après 1500, avoir augmenté moins vite que la population. Les fameux «ciseaux» malthusiens entre croissances économique et démographique ont ainsi tendance à s’ouvrir pendant la première moitié ou les deux premiers tiers du XVIe siècle: surgissent de ce fait, pour les pauvres, et même pour l’ensemble des «non-riches», d’assez graves problèmes de subsistance; ils se traduisent par des disettes (ou quelquefois par des famines); elles reviennent à intervalles réguliers, tous les vingt ou trente ans, et quelquefois même à un rythme plus rapide après 1520. Elles ne disparaîtront en France (et encore!) qu’après 1710, et même après 1741 seulement.

Quant à la poussée plus forte des prix céréaliers, après 1460 et surtout après 1500, en comparaison avec les prix non céréaliers et industriels, elle tend à favoriser les maîtres du grain (grands propriétaires et gros fermiers) vis-à-vis de l’artisanat, dont les produits s’apprécient de moins en moins par rapport au froment ou au seigle. Dégradation donc des «termes de l’échange» (industriel/agricole); elle va en sens exactement inverse de leur amélioration, qui avait pris place dans la période 1330-1450...

Tout le système, on peut même dire tout l’écosystème agricole, fonctionne en stricte interrelation de variables fort diverses; les grands mouvements de flux et de reflux séculaires affectent celles-ci, jusques et y compris au plus épais de l’histoire sociale.

Histoire immobile et dérive

On peut dire que, dans l’ensemble, depuis 1300 et jusque vers 1720 (un peu plus tôt, un peu plus tard selon les régions), le système agricole français (et aussi allemand, italien, etc.) fonctionne en situation malthusienne; ou, plus exactement, néo-malthusienne. Les subsistances disponibles (qui sont en quantité limitée) et, bien davantage encore, l’action des épidémies, voire des guerres, le tout flanqué accessoirement du mariage tardif comme moyen de freinage démographique..., tout cela fait plafonner les volumes globaux du peuplement, si fluctuants qu’ils puissent être, à des maximums qui ne dépassent guère ceux qu’ils avaient déjà atteints une première fois vers 1300-1320, au terme de la première croissance médiévale de long souffle. Dans ces conditions, l’histoire sociale et rurale des quatre siècles mis en cause (1320-1720) n’est pas en proie à de véritables croissances qui crèveraient tous les plafonds. Elle est simplement agitée de vastes fluctuations: je ne pense pas seulement à la guerre de Cent Ans française, ou à la guerre de Trente Ans allemande («noms de guerre», commodes, qui recouvrent en fait des phénomènes beaucoup plus vastes, belliqueux et non belliqueux). Je pense aussi à un événement tel que la peste de 1656 dans certaines campagnes de la région napolitaine: elle détruit plus qu’à moitié une société et une démographie locales; elle prélude à une longue phase de reconstruction qui n’est pas reproduction pure et simple du modèle précédent, tel qu’il prévalait avant la catastrophe de 1656 (G. Delille).

Cette observation a valeur générale. Le système ou écosystème ne se borne pas, au travers de fluctuations parfois gigantesques, à se recopier ou à se «photocopier» finalement tel qu’en lui-même, et à retrouver ainsi, avec exactitude, ses linéaments d’avant la coupure. Il est aussi en proie à une certaine «dérive». Celle-ci est perceptible, par exemple, dans les pays français et nord-italiens; elle introduit dans les sociétés rurales d’Ancien Régime à partir du XVIe siècle (et même avant) divers éléments d’organisation capitaliste, ou «physiocratique» avant la lettre. On ne doit pas oublier en effet que, pendant toute cette période, les secteurs de l’État, de la culture élémentaire et supérieure, de l’industrie, des villes, du marché urbain, des élites et des échanges connaissent, eux, bel et bien, la fameuse croissance longue qu’ignore en tant que tel le monde paysan. Même si cette croissance longue des secteurs non agricoles est interrompue momentanément, à des rythmes divers, par certaines pauses plus ou moins longues, elle n’en demeure pas moins un fait d’interminable durée. Et ce «fait» ne peut manquer d’avoir des conséquences minoritaires, mais indéniables, qui déstabilisent certaines marges de la société des campagnes, du XVIe au XVIIIe siècle. Autour de Paris, par exemple, et autour des villes du nord de la France, les grosses fermes à tendance «capitaliste» se développent au XVIe, et même au XVIIe siècle, en pleine époque de «crise»...

Dans les campagnes de l’Italie et de la France du Sud, la mise en métayage d’assez vastes régions autour des cités importantes marque, elle aussi (mais de façon paradoxale, au gré des esprits superficiels), un procès de modernisation suburbaine de l’agriculture. Cette phase représente un progrès, une déstabilisation du système dans le sens d’une intégration, par rapport au marché, d’exploitations importantes et nombreuses: celles-ci rejoignent les circuits de mobilisation du produit agricole en direction des villes.

Le modèle néo-malthusien doit donc être nuancé, même en France et en Italie. De toute façon, il ne vaut guère après 1500 pour les Pays-Bas, ni après 1600 pour l’Angleterre. Ces deux États, eux, connaissent déjà, pendant l’époque de nos Anciens Régimes, une vraie croissance de type moderne. Tel quel, notre modèle a quand même valeur «opératoire»; il est susceptible en tout cas de rendre des services dès lors qu’il s’agit d’expliquer plusieurs siècles d’histoire rurale et démographique, parmi les grands pays continentaux de l’Europe occidentale de 1300 à 1720 environ.

Encyclopédie Universelle. 2012.

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